L’enthousiasme d’entreprendre, la découverte de la vie réelle se perd pour laisser place aux ordinateurs, portables et tablettes qui nous rendent de plus en plus consommateur-connecté. Le spectaculaire se trouve sur Youtube etc. T’as vu? J’ai mieux, regarde … En croyant être connecté on se déconnecte de la vie, de l’amour, des relations humaines essentielles. Nos enfants en sont les premières victimes. Alors, un spectacle, souvent non sollicité à l’école, peut il conquérir? Pourtant on veut leur faire plaisir! Alors comment faire?
La Guémara nous parle des Bad’hanim, des genres d’amuseurs, d’humoristes, des gens qui re-connectent les gens pour retrouver goût en la vie. C’est vers cette direction que Mosché Messinger se dirige avec son spectacle « Le Bad’han ». C’est un début pour faire lancer le débat et pour faire réfléchir et agir parents et éducateurs tout en nous faisant rire de bon coeur, comme le permet l’humour juif. Et notre humour est tellement puissant pour faire changer les choses que même les antisémites l’adorent …
Il y a six ans ils étaient deux Bad’hanim, Mosché Messinger et Elie Lellouche. C’était délicieux. Le temps a passé et leurs convictions de partir à la rencontre de tous les publics s’est confirmé. Leur nouveau spectacle est en préparation et prêt sous peu.
Voici des extraits de leur spectacle de 2017
